Injustice climatique
Cette année 2024 a été exceptionnelle.
Quelques exemples : Le Pas de Calais inondé plusieurs fois ; le thermomètre s’est affolé au Brésil : 62,3 °C ont été ressentis à Rio de Janeiro le 17 mars. La température réelle était de 42 °C.
Les habitants ne sont pas tous égaux face à la chaleur extrême : dans les favelas, la situation est de plus en plus difficile à supporter.
Dans le sud-est de l’Espagne, les inondations meurtrières survenues du 29 octobre ont semé le chaos, elles ont causé la mort d’au moins 224 personnes. La violence de cette catastrophe est un reflet du changement climatique,
Mayotte, le département français le plus pauvre, est en ruines après le passage du cyclone Chido le 14 décembre.
Extrait REPORTERRE : Une année de défis politiques et climatiques...
Le paradoxe étant que les plus exposés et les plus vulnérables sont aussi ceux qui ont le moins profité des activités qui génèrent le désastre écologique. L’idée d’une justice climatique repose en réalité sur le constat amer d’une « injustice climatique ». Extrait PHILOMAG : Pourquoi le climat est-il si injuste.
Lire aussi : Les pays qui ont connu le plus grand nombre de journées de chaleur dangereuse sont en grande majorité des petits Etats insulaires et en développement.
Et sur The Conversation : Qu’est-on en droit d’exiger des pays du sud ?